Storm, cherche ses liens.

Storm

"« L'harmonie la plus douce
est le son de la voix
de celle que l'on aime.
»
"

Caractère
Que dire sur moi. Je ne suis qu'un étalon menteur.

J'ai bien l'air d'un gentil et doux étalon, * J'avoue je le suis* mais je suis plutôt un peux comment dire ... emmerdeur parfois. J'ai dis '' parfois''. Bon parfois, souvent ... bon, on va pas en faire toute une histoire. J'ai bien du mal à obeir, sa c'est la totale folie, quand je dois obeir. Il faut me gueuler une centaine de fois environs pour que j'écoute les chers remplacent du colonel quand il est occupé. Mais sinon avec lui, je fais tous. J'avoue, parfois je ne veux pas faire quelque chose que je dois faire. Comme, me lever le matin, pour une promennade, ensuite, un échauffement dans le corral. J'aimerais mieux dormir un instant. Et m'envoler dans le pays de mes rêves. Quand je gueule, tous le monde me regarde. Avant, on m'ignorait totalement. Enfin, parfois, on me disait de me taire. J'adore gueuler, c'est mon passe-temps favorie. Bien pas vraiment, mais un peux. Parfois j'ai mal à la gorge à force de crier, gueuler. Que voulez vous que je vous dise. La plupart sont presques sourds. J'ai beau parler ils vont tous me répondre '' Hein ?. Quoi ?. Répète!'' J'ai pas envie de gueuler tous le temps. Donc pensez de vous taire quand je vous parle. Je ne vais pas redire ma magnifique phrase mille fois. Moi je dis ma phrase, U.N.E fois. Mais un bonus de deux fois pour les jolies juments. Je sais, je suis gentil. J'ai aussi un côté blagueur. J'adore dire des blagues, mais, les chevaux ne riant pas de mes blagues. Ils disent juste avait un air non simpatique « Très Drôle ». Quand un humain me fait des gros yeux. J'aimerais bien partir au galop. Mais j'aime mieux éclater de rire, même si j'en ai un peux ... peur. Je suis numero un, le meilleur étalon au monde qui pourrait mentir. Sans que celui ou celle qui me parle, se rend compte que je suis entrain de mentir complètement...

"The Story" - Goûts

On ne c'est où, que l'histoire de l'Étalon à commencé. Mais j'étais jeune poulain à cette époque, j'était le fils de l'étalon du Colonel. J'était plutôt malin étant jeune poulain, je crois que je pourrais comprendre. Mais, étant jeune poulain, je voulait savoir comment c'était endehors de ce désert chaud et capricieux. Mais mon père lui, disait toujours, que ce n'était que du désert. Mais dans ma tête, vu que j'étais jeune poulain, c'était le paradis, de l'herbre, de l'eau. Ma mère elle, lui disait bien que ce n'était pas du désert. Mon père lui disait sa pour une seule raison. Pour ne pas que je part à la recherche de ses fameuses plaines. Au cours des mois, j'avait fait de merveilleuse connaisance avec, d'autres chevaux de d'autres régions. Chaques chevals, chaques juments, chaques étalons. Avait son propre opignion. j'était assez, content d'entendre pleins de nouvelles choses avec c'est magnifique information, qui était d'endehors de cet endroit minable et injuste. Je ne comprennais rien, je voulais allez me promenner. Mais mon père, me disait toujours la même chose '' Jamais, tu ne sortiras de ce fort, pour maintenant.'' J'étais emprisonnié. Je commençais à devenir froid, avec mon père, les humains. Je ne comprennais rien, c'était mon ultime chance, de savoir tout à propo d'endehors de là. Et puis maintenant, on m'interdisait de sortir de mon enclo. Quel bazard, c'est totalement horrible ce qu'ils sont vraiment. Enfin, ils ont tous mauvait caractère. Appart le jeune là-bas, j'entend toujours les hommes lui crier dessus. Lui aussi, il est dans le même pétrin que moi. C'est le seul, qui porte attention sur moi. Il ne fait que me regarder. Je ne comprend pas, pourquoi il ne vien pas me voir. C'est le seul, qui me regarde d'un air agréable à regarder. Enfin, pour le moment, j'espère qu'il ne va pas être comme les autres. Son père, c'est le colonel. Mais il devient un vieil homme le pauvre. Il s'étouffe quand il gueule, le pauvre. Moi j'ai beau crier, on ne porte pas attention sur moi. Sinon, on me dit de me taire. Mais c'est rare. On dirait des chevaux zombifiés. C'est drôle. Je vais surment en devenir un, bien pas comme eux. C'est sur que je ne veux pas être comme eux.

Mais c'est lorsque, j'avais grandis, que je comprenais mieux. Mon père, qui était mort à la suite de la mort de l'ancien colonel. Ma mère elle, était devenue un peux triste. Mais, heureusement, elle était toujours en forme, que la dernière fois que je l'avais vue. J'étais devenu un vrai étalon. Je n'étais plus le petit bébé, qui disait n'importe quoi. Pour me sentir plus fier dans ma peau. Ce n'était pas en disant cela que j'allais changer, c'est ce que je m'avais dis. Maintenant, j'avais la vrai allure d'un étalon d'un colonel. Le fils du colonel, lui qui portait attention sur moi. Était devenu assez fiable, pour devenir un colonel. Il était plus sévère. Mais heureusement, moins que l'autre. Mais je devais obeir à tout. Mais sa, j'en avais une petite difficulter de faire tout ce qu'il disait. Je n'obeissait pas vraiment, au doigt et à l'oeil. Mais cela, allait surment changer...

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