She wore a Yellow Ribbon [PV. Malice]

[libre ?]

[ Nan, il m'est réservée désolé ... ]

Ces même paysage, écœurant ...Mais chaque jour on les perçoit différemment, selon notre humeur en faite.... Aujourd'hui le vent soufflait fort dans mes crins, faisant danser mes crins telle des feuilles... LIBRE...Mes sabots frappait le sol à intervalles réguliers, puissante et impétueuse, personne ne peut m'arrêter quand je suis lancer dans ma folie, ma course folle contre la vie. Au loin je perçus un bruit, sa devait sans doute être des bipèdes, une patrouille j'imagine rien de bien inquiétant... C'est alors que je les entendit dire sans cesse avec un air qui n'allait pas bien, qu'elle était sa signification ? :

♫ Around her neck ♪
♪ She wore a yellow ribbon, ♫
♫ She wore it in the springtime ♪
♪ And in the month of May. ♫
♫ And if you asked her ♪
♪ Why the heck she wore it, ♫
♫ She'd say "It's for my lover ♪
♪ In a U.S. Cavalery ♫

Je me rendis alors compte que je fonçais droit vers eux et fis demi-tour avant qu'il ne me voit mais ils avait l'air complétement épuisé.... Sauf une, elle parti en direction d'où j'étaie venue... Je la suivis mais ne me vis pas... Elle semblait aimer la vie... pas moi. Elle se mit a brouter, le vent était en ma faveur elle ne pouvait pas me sentir, je voulais lui parler, savoir comment elle vivait au sein des cow-boy alors j'avançai sans timidité. La jument leva la tête dans ma direction. Je commença la discussion :

- Bonjour, que fait tu loin de tes contrés avec ces bipèdes.

Tout en regardant ces étranges bipèdes du haut de la plaine, il était trop occupé a parler pour me voir, moi même je m'impressionnait de ma sympathie avec cette jument ennemie alors je gratta le sol nerveuse et la regarda, attendant sa réponse.

- Ces hommes de la Cavalery et moi-même allons parlementer avec Diablo et son chaman, Géronimo.

Elle inclina la tête et brouta quelques touffes d'herbes, dépassant par ci, par là ... puis releva brusquement la tête et dit :

- Tu ne m'as pas l'air indienne... Jument sauvage ?

Elle sourit, un sourire radieux je dois avouer, mais cette jument ne me plaisais pas, une cause ? Elle venait de chez les cow-boy, je fronça les sourcils lorsque un bruit aussi perçant qu'un hennissement dans une grotte retentit, je pointa mes oreilles dans cette direction, la jument me salua et partit au grand galop, pour qui se prenait-elle ? A faire des va et vient sans même que l'on n'est finis ou plutôt commencer la discussion. Je vis la jument s'éloigner vers son cow-boy et la patrouille s'éloigna doucement, j'étaie plutôt soulagée à vrai dire. J'allai me désaltérer dans un un court d'eau proche puis je reviendrai ici passer la nuit, il faisait bon... Je me mis donc en marche et atteignit la source rapidement je bus quelque gorgée et rebroussa chemin, je l'avais fait au pas pour ne pas épuiser mes ressources d'eau. Je n'était pas pressé après tout ! La nuit fut tombé lorsque j'arrivai a la plaine, le vent s'était calmer et il faisait plutôt ... lourd. Je me coucha un instant puis remarqua que j'étaie totalement à découvert si un prédateur ou cow-boy venait par ici, je me rappela soudain qu'au court d'eau ou j'ai bu il y avait quelque arbre, je dormirai là bas. Alors pour une ultime fois je revins sur mes pas et atteignit rapidement le cours d'eau je bu rapidement lorsqu'un bruit de feuillage se fit entendre, troublant le silence de la nuit, je releva la tête, oreille pointé vers le bruit, mes naseaux dilatés, l'odeur des cow-boy était présenté mais seulement d'un équidé de l'un deux, lorsque le cheval, ou plutôt la jument apparut, je fus aussi surprise qu'elle de voir que c'était elle que j'avais rencontrer à la plaine. Je dit d'un ton posé :

- Comme tu me l'a dit tout à l'heure je ne suis ni indienne ni cow-boy en revanche, toi....

Mes paroles ne reflétait pas ma personnalité mais bon, tant pis ! J'attendis alors une réplique de sa part.

[désolé du retard ]

Elle répondit Immédiatement :

- J'appartiens à la Cavalry. Je l'ai déjà tout à l'heure il me semble.

La jument me souriait puis regarda en direction des bipèdes qui m'avaient remarqué mais ile ne bougèrent pas d'un pas. Elle continua :

- Excuse moi d'avoir dû partir tout à l'heure. Je ne sais même pas ton nom.[/color][/color]

Mon nom elle le serai plus tard, après avoir reçu plus de renseignement. Plus de renseignement sur les cow- boy. Il faisait lourd, comme tout les soirs de la saison des feuilles vertes. Le temps idéal pour dormir a la belle étoile, puis la jument dit après quelque secondes :

- Au fait, je m'appelle Satinka. Mais tu entendra surement les soldats m'appeler Rosenrot.

Satinka était très beau tout comme Rosenrot, intéressant... Je gratta le sol de mes antérieurs et m'allongea confortablement sur le sol meuble, je lui répondit d'un ton tranquille :

- Hum, Hum... Satinka est un très joli nom ! Quand a moi je m'appelle Malice, et je suis très.... troublé de voir ces bipèdes non loin de moi...

C'était vrai, ces bipèdes troulai cette nuit, j'avais l'impression qu'il nous observais et c'est très troublant... Je regarda alors la jument dans les yeux, puis lui demanda :

- Qui sont Diablo et Géronimo ?

C'est vrai, pourquoi allez -t-il les voir ?

La jument cow boy avait entreprit de brouter quelque brindilles mais redressa le tête en plongeant son regard dans le mien, puis un sourire se dessina sur ces lèvres, elle répondit :

- Diablo et Géronimo sont deux indiens ayant un rang assez élevé. Le Colonel veut parler avec eux.

Un soupir presque inaudible se fit entendre, elle regarda l'eau ruisseler, impassible :

- Ça risque fort bien de finir en foirade...

Elle reporta alors son regard sur moi, animé d'une lueur profonde, grave. Elle était nerveuse, j'arrivai a percevoir chacun de ses sentiments. L'ennui, le stress... Satinka avait l'oreille au aguets car a chaque bruit provenant du campement, elle redressais l'oreille. Lorsqu'un sifflement provint du camp, la jument déclara :

- Je reviens un peu plus tard, désolé.

Sans attendre plus de ma part, ne serai-ce qu'une protestation, elle parti au galop vers le camp des cow-boy. Je me redirigeât vers la forêt en laissant les ombres inquiétantes dévorés mon corps. Je resta tout de même à la limite de la plaine et de la forêt si jamais Satinka reviendrai. Alors j’attendis, les oreilles en avant, les yeux perçant en cette nuit de pleine lune, la tête haute. Mon ouïe perçut un tapement régulier au sol qui se rapprochait de plus en plus. L'odeur de bipède était présente. Je fronça les naseaux, dégoutés. Je recula alors dans la forêt mais pas trop, de façon a percevoir simplement ma morphologie.

Lorsque j’arrivai a distinguer les ennemis, je devina Rosenrot accompagné de la Cavalery. Elle s'arrêta et porta son regard sur moi, je ne crois pas qu'elle sache que c'est moi. La lune était au dessus d'eux, pas de moi. Il ne pouvait donc pas voir qui j'étais. Puis je dit d'une voix sinistre, troublant le silence glaciale :

- Alors tu tiens tellement à moi que ça ?

Je ne crois pas que les deux bipèdes qu'elle cherche soit dans cette direction, en Terre sauvages. Alors j’attendis patiemment sa réponse.

UP

Le bipède descendit de sa monture et passa un partie de son corps sur son encolure, descendant jusqu'au naseaux. Il partit s'allonger dans l'herbe, j'observai avec attention chacun de ses gestes. Ces bipèdes pouvait être très dangereux... Puis Satinka vint vers moi et s'exclama :

- C'est toi qui dit ça ? Je te retourne la question, tu suis mon régiment depuis plusieurs heures !

Je fronça légèrement les sourcils, elle insinuer que je la suivais, l'épier ?... Satinka profitait de la douceur du vent ainsi que l'odeur environnante, je ne sais pas ce qu'elle trouvait de spécial. Enfin bon. Je soupira lorsqu'elle me posa une question :

- Dit moi, où est passé ton troupeau ?

Je renâcla la terre de mes sabots bruyamment. Que lui dire, que j'étais parti ? Que j'étais en quête d'herbe pour une malade ? ... Toutes ces réponses était fausses, alors je m'exprima a mon tour, les sourcils froncés :

"- Il me semble que tu es sur les Terres sauvages, vous êtes les ennemis... Les intrus si tu préfère. Et je ne t'indiquerai pas la position de notre troupeau... "

Elle pointa les cavalier avec ses naseaux en disant :

"- On ne sait jamais si ces bipèdes auraient l'intention de nous capturer. Je préfère être sur mes gardes. "

Puis elle regarda la terre, la gratta de son antérieur, et reporta son regard vers Satinka. Elle s'éloigna un peu et lui demanda :

"- Si tu as faim suis moi !"

Puis sans attendre sa réponse, elle s'élança au galop, décochant quelques ruades, ferma les yeux un instant. Rien que pour sentir le vent lui fouetter la croupe l'air de dire :" Plus vite ! " Elle allongea progressivement ses foulés, puis d'un bon prodigieux, elle sauta par dessus un tronc abattu. Pendant son saut, elle sourit sous le soleil couchant, elle lorsque son sabots toucha la terre ferme, elle s'arrêta et regarda derrière elle .

[Désolé du retard D: ]

Up D:

Satinka galopais a ses cotés, visiblement énervée contre moi. En même temps, je ne pouvais tout de même pas lui révéler que j'étais la jument dominante, si ?... Alors que je m'étais arrêter je la voyait s’éloigner. En l'espace d'un instant, elle n'était plus qu'un point dans l'horizon. Je gratta le sol de mon antérieur... Que faire la rejoindre ou la laisser se débrouiller avec .... Oh non ! ! Elle court un terrible danger ! La bas se trouve une harde de couguars sanguinaires et affamés. Il faut que je la sauve, qu'elle soit du camp ennemi ou non ! Je galope alors a sa recherche. Rien a faire. Elle était parti très loin. Satinka est beaucoup plus rapide que moi. Je continuais mon chemin, affolé. La nuit est tombé depuis bien longtemps. La lune trône fièrement dans ce ciel sans étoile. Juste d'un bleu profond. Très profond...

Je trottais dorénavant, épuisée. Je passa au pas et l’appela par son nom, sans cesse. Plus je m'approchais, plus j'avais peur. Et oui, c'était un couguar qui avait tué mon poulain.... Une larme roula sur ma joue, tant de souvenirs me revenait. Souvenir des plus sanglants qui soit. Je tremblais sans m'en rendre compte. Puis j’aperçus une tache au loin, suivit de son cavalier. Une vague d'espoir m'envahit, je courus à leur rencontre au galop et leur dit affolée :

"- Vite partons d'ici ! C'est trop dangereux je t'expliquerais tout plus tard ! "

Je tremblai, mon regard se balançais du lointain horizon a la jument, une forme se dessinait puis un grognement. Mon sang se glaça. Ce grognement.... MISERE ! Un couguar, vite il faut que l’on parte. Je galopa et m’arrêta :

" Allez Satinka !! "

Je trépignai sur place, le couguar rallongeais ses foulés. Je regardais Satinka. J'ai peur, tellement peur.