Ma premiere rencontre que je n'oublierai pas [Pv. Diego]

Nouvelles terres, nouvelles rencontres, nouvelles tromperie, nouvelles tricherie...mais toujours la même quête, une en moins, c'est déjà ça... Pourquoi me faire sa, a moi? Je le mériter tant que sa ? Pourquoi, pourquoi POURQUOI ??? je lui ai donné mon amour, ses désirs et envies... je n'aurai pas du, je n'aurai jamais du , suis-je si pitoyable que ça ?? Tient une flaque... Je me regarde dedans, et cri avec rage et haine :

- Encore toi ?? pourquoi viens tu me hanter dès que je me regarde, que je dors ou que je vis?? Pourquoi toiiii , je te hais laisse moi !!

Je deviens folle a force de voir cette étalon, il me hante il est toujours la... il me regarde, je hurle encore une fois :

- Laisse moi vivre !! Laisse moi tranquille, si je te revois je te tuerai !! tu as eu de la chance quand tu es parti, j'étaie sans défense mais maintenant, remplie d'une nouvelle force je te tuerai !!

Je devenais probablement folle, mais que voulait vous, un amour, un poulain qui meurent sous les griffes d'un couguar et son père regardant l'animal faire son travail, le déchiqueter en miette sans rien faire, vous n'auriez pas la RAGE et la Haine, je ne veux pas mourir pas avant de l'avoir tuer ... Comment avoir la joie de vivre avec un... un... un fardeau si lourd, je n'en peux plus... Mais je le trouverai, quitte a fouiller toutes les terres pour le tuer, jamais je ne le laisserai vivre après ce qu'il m'a fait... Le vent fouetta mon visage de plein fouet, je tomba sur le sol, telle une feuille morte tombant de son arbre... Même le vent m'en voulait. POURQUOI ??Mais il m'apporta aussi une odeur... UN ÉTALON !! Étai-ce lui ? Je me mis debout les muscle prêt au combat... Malgré que je n'ai rien avalé depuis trois jours... Je l'attendait pour le tuer ... Qu'il approche un peu... toute ces années vont payer l'effort de mes entrainement, je suis imbattable a la course et un combat, je me bat comme un étalon protégeant sa harde... J'attendis alors, seul dans la plaine ... Mais plus pour longtemps... Je ne voulais pas pas l'attaquer, je voulais juste voir si c'était lui, je ne voulais pas faire de meurtre inutile... Mais quelque chose m'arrêta, c'est un Indien... Sa ne pouvait pas être lui.... il était beaucoup trop sauvage pour sa... Je me détendit et dit d'un ton aussi froid que le vent:

- Viens donc par là, n'est pas peur ...

Je voulais lui faire peur, un peu, mais je ne voulais pas qu'il s'en aille alors j'attendis...


(bizarre n'est-ce pas )

Le temps était froid et sec ce matin... Je m'étais levé de fort mauvaise humeur. Pourquoi ? Sans aucune raison. Mais peut-on commander au feu ? Non. Donc, il était de mauvaise humeur. Que pouvait-il bien faire ? Se déchainer, laisser éclater sa fureur ? S'acharner sur un poulain qui n'avait rien demandé, sur un animal innocent ? Embêter Maïté ? Les idées ne manquaient pas. Mais pourtant, il n'avait pas tellement envie de déchainer mers et tempêtes sur une personne qu'il connaissait. Et l'idée de voir quelqu'un le répugnait. Il préférait rester en compagnie de sa solitude et simplement passer ses nerfs quand il en aurait l'occasion, ce qui ne manquerait pas d'arriver.

Mais où pouvait-il bien aller dans ce cas ? Il n'en avait strictement aucune idée. Alors, il partit, se laissa guider par le hasard et le paysage. Il finirait bien par trouver un endroit intéressant non ?
Il erra un certain temps. Quelques minutes, quelques heures ? Il n'en savait rien. Mais sa mauvaise humeur, elle, était toujours la. Certes, elle était différente, mais toujours présente. Comme un vombrissement au plus profond de son être, comme une colère sourde. Comme l'orage qui gronde mais reste caché. Et qui d'un coup, sans prévenir, explose et fait rugir sa colère, en explosions d'éclairs déchaînés et sans pitié aucune.

Son espri vagabondait ailleurs. Il revoyait les images de lui, encore jeune et indomptable. Pus ceux aux avaieiyn tente de le chevaucher, de plus en plus violemment. Il frissonna t sortit de sa rêverie. Lorsqu'il releva la tête, il constata qu'il se trouvait dans une immense prairie couverte d'un long manteau d'herbe bien grasse et tendre. Le vent sifflait et faisait onduler ses crins dans le vent, retournait les poils de sa croupe. C'était assez agréable. Il aurait pu rester ici un moment encore, mais la sourde colère raisonnait encore en lui. Il continua donc sa marche. Mais à ce moment la, l'imprévisible survint: un e jent lui fonça dessus, comme une furie.

Pourquoi ? Il n'en avait aucune idée. Il fit un bond en arrière, surpris. Voulait-elle le tuer ? Probablement, vu comment elle s'y prenait. Son motif restait quant à lui inconnu. Elle lui cria quelque chose. De la laisser. Il ne la connaissait pourtant pas. Et voilà qu'elle lui dit de d'approcher...
L'étalon de flammes s'était la colère monter en lui. Pourquoi l'agressait-elle de la sorte ?Pour qui le prenait-on ? Il déclara, vivement, même mèche ment;

" Qui es-tu pour me parler de la sorte ? Te crois-tu tout permis ?! "

Et sans attendre, il se jeta sur elle, les dents droit sur son encolure ...

Mes muscles ne s'étaient pas retenus longtemps et avait fonçer sur l'étalon doré, mais il s'était écarter d'un bond, Pourquoi mes muscles m'avaient désobéis, mais je n'eus pas le temps de me poser d'autres question car l'étalon se mit a feuler de colère :

" Qui es-tu pour me parler de la sorte ? Te crois-tu tout permis ?! "

Il n'attendit pas ma réponse et me fonça dessus, mon cœur battait fort dans ma poitrine, j'étais incapable de bouger, depuis tout à l'heure je ne voulais que me battre et maintenant que l'occasion étais présente je ne faisais rien, pas un pas. Je regarder l'étalon s'avancer, ses antérieurs et postérieurs marteler le sol de ses foulées puissantes. Il me percuta de plein fouet et je m'écroula au sol, que m'arrivait-il ?! Pourquoi suis-je si faible ?! Puis dans un gémissement je dis :

" Désolé, je suis vraiment... désolé"

Quoi pourquoi me suis- je excuser ?! Il n'y avait pas de raison que je m'excuse alors je le regarda de haut en bas mes yeux se focalisèrent sur les siens, impossible de regarder ailleurs, puis plus rien...

[court navré ]

Le noir, je marche dans le pénombre. Sans savoir ou je vais, je tombe à de multiples reprises. Je me relève sans cesse. Puis j'aperçois une lumière. Une sortie. Je m'y dirige sans soucis et m'engouffre dans cette derrière. Je débarque dans un jardin plein de fleurs et d'herbes tendre. Le temps y est afait. Suis-je morte ? Probablement. Je goutta quelque brin d'herbes avec amertume. Je les manchonna tranquillement, puis soudainement un gout de sang envahit ma bouche. Je recracha les fleurs, avec du sang. Je releva la tête et aperçut un équidé. Un étalon. L'étalon. Il me donnait des coups de tout part, et moi, je subissait. Comme une faible. Je suis faible. Puis je sentit qu'il s’éloigna mais moi je resta là, a me vider de mon sang. Une trappe s'ouvrit sous moi et je revins à la réalité.

L'étalon doré broutait non loin de là. Je l'observa du coin de l’œil mais je crois qu'il a remarquer que je me suis réveiller. Je me leva lentement. Me dirigeant vers l'étalon en colère je m'exclama :

- Qui es-tu ?

Une courte pose se marqua et je rajouta avec lassitude :

- Je suis Malice, l'âme qui ne souhaite que vengeance.

Présentation plutôt sobre, Sans grand intérêt. Je termina ma phrase :

- Si tu juges que cette conversation ne sert à rien, je m'en vais...

Je ne tenais pas a rester ici dans un silence, sans échanger aucune paroles. De toute façon, cela serait complétement inutile. Il est prévenu, je ne peux rien faire d'autres pour lui. Rien. Je ne pouvais rien faire déjà pour moi, alors comment pourrai-je faire quelque chose pour lui ... ?

[ Pas d'inspi --" ]

Je broutai, tranquillement, profitant de l'herbe qui poussait par ici. La température tempérée offrait un confort relatif. Je plissai un peu les yeux, profitant de l'odeur et du vent soufflant sur la robe de feu. C'était paisible, comme endroit. La vue était dégagée; et même si le vent qui soufflait dans cette plaine avait tendance à être irrégulier, l'air restait agréable, quoi que frais. L'air embaumait les fleurs, l'herbe, toutes des odeurs agréables à respirer. Je replongerai dans l'herbe et le remis à brouter avec joie. Finalement, on était pas si mal ici. Je j'étais un coup d'oeil derrière moi; j'avais failli oublier la jument qui avait perdu connaissance.

Justement, elle s'était réveillée. Elle se leva difficilement puis se rapprocha de moi.

"- Qui es-tu ?"

Drôle de question, alors que je veillais sur elle et qu'elle venait de se réveiller. Enfin. "- Je suis Malice, l'âme qui ne souhaite que vengeance."
Charmant. Mais apparemment la jument n'était pas décidée à me laisse parler car elle enchaîna:
"- Si tu juges que cette conversation ne sert à rien, je m'en vais..."

" Aurais-je eu cette prétention ? Jamais je ne l'ai prétendu. Sinon, je m'appelle Diego."

Je ne pouvais me résoudre à la laisser partir comme ça, aussi simplement.
"Pourquoi t'en irais-tu ? Tu ne pourrais pas aller bien loin, tu viens de perdre connaissance. Dis-moi plutôt comment tu t'es retrouvée ici ! "


[désolée je suis sur mon téléphone et j'ai pas beaucoup de temps donc la qualité/taille =$]

Il répondit immédiatement :

" Aurais-je eu cette prétention ? Jamais je ne l'ai prétendu. Sinon, je m'appelle Diego."

* C'est vrai mais peut-être par ta façon d'agir * pensais-je. Et Diego était un joli nom je trouve ! Il enchaîna :

"Pourquoi t'en irais-tu ? Tu ne pourrais pas aller bien loin, tu viens de perdre connaissance. Dis-moi plutôt comment tu t'es retrouvée ici ! "

Oh si je peux aller très loin si je le veux, quitte a mourir. J'ai encore assez de forces. Je peux me débrouiller seul. Je n'ai pas besoin de lui. Je lui expliqua :

" Je pourrai partir si je veux mais puisque tu veux savoir comment je suis arriver ici je vais te le dire. J'effectue une quête depuis plusieurs semaines. Retrouver un étalon. Pas toi mais au début je croyais que c'était toi parce que dès que je vois un étalon ou que j'en sens je deviens folle car je crois que c'est lui... Je suis désolé de t'avoir foncer dessus. Je me suis encore tromper sur ma cible... Depuis je traverse de nombreuse Terres a la recherche de cet étalon... Que je dois tuer.

Au moins je n'avait pas menti et j'espère qu'il comprendra pourquoi je l'ai agressait tout à l'heure... J'avais une bonne raison au moins. Je m'allongea sur le sol meuble. Je soupira discrètement puis lui demanda :

"- Et toi pourquoi est-tu en colère ?"

Sa ce sent dans ses paroles. Je le regarda puis dressa mes oreilles en avant entendant un bruit dans le feuillage mais un oiseau en sortit se perchant sur une branche non loin de là et croassa, c'était de mauvaises augure... Je me releva immédiatement les oreilles en alertes. Le volatiles partit mais un autre bruissement de feuilles se fit entendre. Mais lui est beaucoup plus lourd...

[J'ai rajouté un peu d'action ! , tu peux dire ce que tu veux comme expliquation =) ! Et c'estv court moi aussi désolé...]

" Je pourrai partir si je veux mais puisque tu veux savoir comment je suis arriver ici je vais te le dire. J'effectue une quête depuis plusieurs semaines. Retrouver un étalon. Pas toi mais au début je croyais que c'était toi parce que dès que je vois un étalon ou que j'en sens je deviens folle car je crois que c'est lui... Je suis désolé de t'avoir foncé dessus. Je me suis encore trompée sur ma cible... Depuis je traverse de nombreuse Terres a la recherche de cet étalon... Que je dois tuer.

Elle irait très loin, cela ne faisait aucun doute, vu son état. Enfin, tant mieux pour elle si elle se croyait forte. Après tout, je ne la connaissais même pas, pourquoi me soucier d'elle et de sa santé ? Je pouvais aussi bien partir sans me retourner et la laisser seule avec ses problèmes.
Quant à sa quête... Un étalon ? Elle était devenue folle, cela je voulais bien le croire, vu sa réaction. Quant à le tuer... Ce n'est pas dans cet état qu'elle y arriverait. Pourquoi vouloir tant de mal ? J'avais bien du mal à la suivre.


"- Et toi pourquoi es-tu en colère ?"

Etais-je en colère ? Je m'offris une seconde de réflexion. De toute évidence, oui. Contre qui, contre quoi ? Cela restait à déterminer. La colère grondait, sourde et montante, vibrante de puissance. Prête à se déchainer. Pourtant, il n'y avait pas de raison particulière à cela. Le feu contrôle-t-il ses flammes ? Alors pourquoi contrôlerais-je mes colères ? J'allai lui répondre, mais un bruit de fit tourner la tête. Un oiseau s'envola précipitamment d'un petit bosquet non loin de là. Et le sol se mit à trembler.

Et je vis sa tête apparaitre, repoussant les feuillages. Son odeur musquée me prit à la gorge et je m'arrêtai de respirer une fraction de seconde. Ses poils, noirs et assez longs étaient tout emmêlés et formaient d'épaisses mèches. Son museau et ses yeux brillaient; il était terrifiant. Il poussa un rugissement à faire pâlir les plus courageux. Ses deux cornes pointées dans notre direction, il se mit à gratter le sol. Oui, c'était un bison, un énorme bison. Je n'eus que le temps de crier :

"Cours !!"

Avant de le voir démarrer. Il se trouvait à cinq mètres de nous, il fallait agir vite. Nous avions l'avantage de la vitesse, mais l'autre jument était blessée, nous ne tiendrions pas longtemps. Il fallait trouver une solution.

Le souffle court, les yeux écarquillés, les frisson me parcoure. Tout ces agissement de ma part ne sont le motif d'une seule chose. Diego était pareil que moi, il n'y croyait pas. Un énorme bison se tenait devant nous, au cornes énormes. Prête a nous transpercés, à ce que le sang gicle. Éclabousse. Envahissent l'herbe fraîche. Son épaisse fourrure toute ébouriffée montrer,, prouver qu'il s'était battue ou qu'il s'était passés quelque chose. La colère se lisait dans ses yeux. Claire comme la cascade au cristal. Il rugit et Diego m'ordonna :

"Cours !!"

Je ne me fit pas prier et courut le plus rapidement que mes membres me le permettaient. Le bison foulait la terre, écrasant tout sur son passage, n'épargnant rien. Il était à 5 queue de renards de moi et se rapprochai de plus en plus.... Dans quel temps je me ferai piétiner. Je ne pouvais pas aller plus vite, je ne trouvais plus ma respiration. Je regardai autour de moi affolés, Diego... Ou était-il ??L'étalon aux couleurs de flamme se serai-t-il éteint ? Non je ne pouvais pas le croire. Le feu est éternel. Et quand on s'en prends à lui, il se ranime, plus fort encore. Il se relève et n'abandonne pas. Mais moi, pauvre petite que je suis, j'abandonnerai. Tôt ou tard. Je pouvais sentir la respiration sifflante du bison sur mes flancs. Je regarda un instant derrière moi mais je ne vis que le bison. Énorme. Je repointa le regard vers l'avant mais trot tard... Je me pris un arbre de plein fouet et la force du choque me projetât sur le côté. Le bison, lui continuât tout droit, il déracinant l'arbre grâce à ses cornes et projetât le tronc dans ma direction. J'étais à Terre, immobiliser par le tronc. Grognant de douleur. Je ne bougeais pas, je souffrais en silence. J’attendais que le bison s'éloigne suffisamment pour que je puisse demander à l'aide. Mais serai-je encore vivant ? Telle est la question...

Je galopais, toujours plus vite, plus loin, plus longtemps. Nos vies en dépendaient, nous ne pouvions nous permettre de ralentir. Comme poussés par l'adrénaline, nous allions à une vitesse folle... Que le bison tenait sans problème. Comment s'était-il retrouvé par ici ? Il n'y avait pourtant aucune de ces bêtes par ici en temps normal ! Il n'avait pas le temps de réfléchir à tout ça. Il continuait de galoper, plus rapide que le feu qui consomme la plaine. Il prenait garde à rester en retrait par rapport à la jument, car il s’inquiétait pour elle. Elle avait eut l'air si fragile lorsqu'elle avait perdu connaissance... Et si cela recommençait ? Si elle s'effondrait ? Tout ce qu'il pouvait faire était de rester à son côté, un peu derrière en prévention.

Le rythme ne diminuait pas, il ne pouvait pas diminuer. Je me demandai combien de temps allions nous pouvoir supporter cette vitesse avant de nous effondrer, quand je vis la jument se retourner. Pourquoi ? Elle l'entendait bien, ce bison, non ? Mais ce ne fut pas le pire. Elle se prit un arbre, de plein fouet. D'un coup, avec cet élan monstrueux. L'arbre n'était pas énorme, mais le choc suffit à la faire voler sur le côté. Le bison n'eut pas non plus le temps de l'esquiver et se le prit de plein fouet dans les cornes... Ce qui déracina l'arbre qui fini sur la jument. Mon coeur s’arrêta une fraction de seconde. Je ne savais pas si je devais regarder le bison ou la jument... Je jetai un coup d'oeil à la bête; elle avait continué son chemin, tout droit. Elle n'était pas revenue vers nous. J'eus un instant d'incrédulité. Ce n'était pas nous qu'elle traquait, mais autres chose qu'elle fuyait.
Je n'avais pas le temps d'en savoir plus, je fonçai vers la jument prisonnière du tronc.


Je ne savais pas comment la libérer. Il n'y avait qu'une seule solution: le faire bouger en le frappant de mes postérieur. J'espérais que je ne ferais pas de mal à la jument. Je me mis à frapper, de toute mes forces sur le tronc, qui bougeait tout doucement. Bientôt, un seul de ses membre resta coincé dessous. Le dernier coup. Mais soudain un bruit, énorme, gigantesque, le bruit de l'eau puissante et dévastatrice me fit me retourner. Et je compris ce qui avait fait fuir le bison.

Je voyais la bête s'éloigner en courant. Pourquoi n'était-elle par revenue vers moi ? Je n'eus pas le temps de me poser la question car je vis une flamme arriver, ou plutôt Diego. Un voile de soulagement devait se lire dans mes yeux. Ma respiration se faisait plus difficile mais Diego me dit :

" Ne bouge pas ! "

J'essayais de l'appliquer mais je cherchais de l'air pour survivre. Ma seule préoccupation pour le moment était de survivre. Je ne pouvais pas mourir maintenant. Quoique je l'avais bien méritée. Une larme roula sur ma joue. Je vis Diego essayer de se creuser la cervelle pour trouver une solution de me dégager de ce pétrin, mais tout cela serai inutile... Je ne méritai pas de vivre. C'est alors je sentit un choc. L'étalon frappait le tronc de toutes ses forces restante. Je l'admirai, il était si brave, si courageux... Il ne perdait jamais espoir... Pas comme moi. Je sentit un peu énorme se retirait. Il m'avait libérée... Je souris mais je n'eus le temps de ne rien répondre... Un bruit assourdissant, titanesque me réveillât, je me leva a la hâte et vit de l'eau. Les rapides était débordés... et allait bientôt nous ramassez si nous ne courions pas... ! Ma tête tournait horriblement, mes côtes avaient pris un sacré coup. Mais je pouvais toujours courir... Je lui cria :

" T'attends quoi ? Que l'eau nous ramasses ?!! COURS !! "

J'attendis qu'il démarre pour courir a mon tour, quoique je ne pus pas voir si il était parti car mes membres démarrent sans mon autorisation. Le bruit de l'eau assourdissant me faisait paniquer. Cette fois ci je ne me retournerai pas ! Je vis du coin de l’œil l'étalon aux couleurs flammes et reprit ma course, rassurée.

L'eau, rugissante, assourdissante débarquait dans notre direction. Les rapides étaient sorties du lit de la rivière et s'étendait dans les vallons de la prairie environnante. Évidemment, nous étions dans un creux, et l'eau affluait à toute vitesse. Les remous semblaient pareils à de monstrueuses bêtes en furie. Les différentes couleurs de bleu se succédaient, et de l'écume se formait à la surface de l'eau, crée par les remous. Je paniquai. L'eau m'avait toujours effrayé sans qu'il y ait de raison particulière. Mais il n'y avait pas de temps pour la panique, pas de temps pour le désordre, pas de temps pour réfléchir... Seulement pour foncer avant qu'il ne soit trop tard, avant de se faire engloutir par les flots meurtriers.



" T'attends quoi ? Que l'eau nous ramasses ?!! COURS !! "

Je détalait comme un lapin poursuivi par un ours affamé. Il n'y avait pas besoin de le dire pour le faire, et je partis immédiatement, la jument juste devant moi. Je la rattrapai et croisai son regard. Je réfléchissais à toute vitesse. Comment s'en sortir ? Peu de solutions s'offraient à nous. Nous pouvions monter sur une des petites collines, espérant les atteindre à temps, qui nous offriraient un petit temps de repos et de réflexion avant d'être prises d'assaut par les remous. Je continuai de galoper. Que faire, que faire ? La situation me semblait terriblement désespérée.

La seule chose possible me semblait être de gagner en hauteur pour être hors de portée de l'eau. Il fallait espérer. Je ne prévins pas la jument qui était à deux pas de moi et me verrai tourner. J'allai en direction d'une grande butte. Peut-être était-elle plate une fois arrivés en haut ? Cela nous permettrait d'être définitivement en sécurité. Une simple montée, et le terrain surélevé derrière. Cela serait tellement beau, et pourrait bien nous sauver la vie. Mais il fallait faire vite. Je fonçai, la jument à mes côtés. Déjà je sentais les gouttes d'eau atterrir sur mes postérieurs.

Soupir, non pas de temps, pas de place pour en placer une. Courir, survivre, seul solution ?... Oui. Enfin, c'est ce que je me dit. Je galope aussi vite que mon énergie me le permet. J'ai tellement mal au cote, tellement... Souffrance. Nan, je n'ai pas de temps pour penser a de telle choses. Diego est derrière moi, il réfléchit, la panique se lit sur son visage. L'affolement. Je regarde droit devant, concentré. Que faire ? Nous ne pourrons pas tenir la cadence à cette vitesse. Puis Diego vire sur le coté, je le suis. Il doit surement avoir une idée. C’est obligée. Il ne peut pas faire ça aléatoirement, c'est impossible. Il ne peut rien faire aléatoirement. Car toute action est dangereuse, bancale. Puis je vois ou il veut en venir, se trouver en hauteur. En hauteur pour que les eaux ne peuvent accéder a nous. Nous attaquons une montée. Rude. Je force, rien à faire. L'eau commence a me dévorer la croupe a une vitesse phénoménale. Je me ressaisis et avance, lute pour vivre. Je dois le tuer avant. Je force, j'avance, oui ! L'eau me lâche, s’arrête a une limite, puis abandonne. Elle redescend la pente. Je m'écroule au sol, je vois Diego, lui aussi essoufflé par cette course folle. Haletante, mon ventre se soulève a mouvement régulier. La bouche entrouverte pour laisser passer l'air. L'herbe aussitôt tremper par mon corps mouillé. Et là, je me permet de soupirer :

"- Diego, Diego.... on a réussis... "

Je lève la tête et vois Diego, rassurer je repose ma tête lourdement au sol. Je repense a comment je suis arrivé ici, comment ai-je pu en arriver là ?! ... Ah oui, ce fichu corbeau. La malchance me suit et m'harcele, me lâche pas.... Telle est ma destinée, me faire harceler. Après un petit moment, je me relève doucement et m'ébroue pour enlever l'eau accrocher à mon poil. Je regarde le feu presque éteins m'approche de lui et lui souffle dans l'oreille :

"- Diego, merci... Et surtout n'oublie jamais qu'un feu ardent ne s'éteint jamais, il se relève plus fort que jamais.... Il est invincible. "

||Fin ? ||

[ Si tu veux :3 ♥ ]

J'archive, on se refera un RP un De ces 4