De nouveaux chevaux pour les hommes (libre)

J'attendait depuis des heures maintenant sous la brume fraiche de la matinée,elle s'annoncer déjà longue cette journée,mon bipéde voualit renouveller le stock de chevaux pour le fort pour celà rien de mieux que d'en capture celà économise de l'argent et surtout on a le choix sur ceux qu'on veut.Je dressa la tête quand j'aperçut des silhouette sombre au loin,le bruit des naseaux et des sabots recouvrirent peu à peu le silence qui était là depuis longtemp.
Je commençait a m'impatiente,c'est vrai j'avais mal au jambes à force de rester immobille droit comme un I.
Mon bipéde sortie doucement son lasso de la sacoche,je savais que l'assaut n'aller pas tarde,quelques jours auparavant il les avaient repérent ces chevaux qu ivagabonder en ces terres,on été plusieurs du fort à participé à la capture,mais je ne m'en soucia pas et me positionna de façon a pouvoir partir dans la seconde.
Jacob leva le bras vers la droite signe que l'on encercleraient ses équidés par la droite,puis soudain à moment propice ou tous s'étaient arrete pour broute,on sonna la charge,je galopa telle une fussée droit devant moi puis du aller vers la droite,je ne voyais pas grand chose avec la brume,juste des cries de peur et le bruit de chevaux au galop,soudain je fut un cheval qui me coupa la trajectoire directement,celu ilà n'aller pas s'en tirer comme ça foie de Fouganzy,je le rattrapa et attendit que mon bipéde face le reste...

Liberty avit envie de prendre l'air. De revoir son ancien indien : Petit Aigle. Elle hésita encore longtemps, regarda la direction de la forêt et pris sa décision. Elle se mit à galoper vers la forêt. Cette dernière était plongé dans la brume. Elle se dirigea avec ses anciens souvenirs. A gauche, à droite. Un peu plus à gauche... En entrant dans ce qu'elle pensait être la clairière, elle entendit des cris de peur à sa gauche. Elle se mit à galoper droit devant elle sans demander ce qui se passait. Elle passa juste devant un cheval. Elle l'entendit galoper derrière elle. Pensant que c'était l'un de chevaux apeuré, elle ne se posa pas plus de question et galopa d'un galop lent, persuadé que le danger est passé. Le cheval la rattrapa et elle sentit une odeur de cuir. Etrange, les chevaux d'indien n'ont pas du cuir. Elle tourna la tête dans la direction du cheval et elle faillit avoir une crise cardiaque. Un cheval de cow-boy ! Avec un cow-boy sur son dos !! Elle se mit à galoper de plus en plus vite mais pas assez. Elle sentit un lasso autour de son encolure. Le cheval derrière elle s'arrêta et elle fut arrêter dans son élan. Elle se cabra, battit l'air de ses antérieurs et le cow-boy tira à nouveau sur le lasso. La petite jument pie s'écroula sur le dos. Elle voulut se relever mais l'humain lança un lasso qui emprisonna ses antérieurs. Elle se débattit encore 2 minutes puis, épuisée, ne bougea plus. Elle lançat un puissant hennissement de détresse, éspérant que quelqu'un l'entende.

Une chance elle commença à ralentir l'allure peut être avait t'elle vue un autre humain qui aller l'encercle ou lui barre la route,je sentais à l'odeur qu'elle avait peur,je rallongea mes foulées à peine que ma proie repartie aussi sec.Mais Jacob n'était pas le dernier née et savait comment bien manie le lasso alors se redressa sur la selle tout en m'indiqua avec ses talons de continue de galope vite,il fit tourne de plus en plus vite la corde au dessus de sa tête de façon circulaire,ce geste produise un son aiguë du au contact de l'air et puis il le lança et ne rata pas ce cheval sombre,un glissement sur les postérieurs et l'étalon s'arrêta net,son cavalier lui était parfaitement place et avait un regard tellement sur de lui qu’on aurait dit que ce genre de chose était facile.

Un autre lasso emprisonna les antérieurs de la jument qui se débatte de trop et les cow boys par précaution préféré faire ce genre de chose.Je regarde autour de moi et constata que la plupart des chevaux de l'armée revenait vers nous avec un cheval attaché au bout de la corde qui entouré le pommeau de la selle.Puis le hennissement de détresse de la demoiselle remit mon visage vers elle,j'approcha un peu et lui dit sans méchanceté

"Il ne sert à rien de crie personne ne viendra,ils ont tous prit la fuite."

Le colonel s'approcha d'un pas téméraire et demanda à ce que l'on l'immobilise de ce faite,il lui fit autour de la tête un licol bien solide,il essaya de ne pas se faire mordre et siffla pour que je me rapproche,je me retrouva plus qu'à quelques centimètres.La brume se dissipa peu à peu et le soleil essaye de perce les nuages gris du ciel.
Voyant enfin la couleur que je croie noir de cette créature,je vis sa belle tête blanche ainsi que sa couleur pie.

[ je vais écrire à la première personne]
"Il ne sert à rien de crie personne ne viendra,ils ont tous prit la fuite."
L'étalon avait dis ça sur un ton très doux, qui me rassura presque. L'homme vint et me fit un... un quoi en fait ? Un drôle d'instrument qu'on mettait sur la tête des chevaux. Je me débattais en essayant de le mordre, mais il était rapide et il esquiva mes dents. Je vis alors des chevaux de cow-boy ramenant des chevaux d'indien.L'instrument posé sur ma tête me tira en avant. Sans rechigner, épuisée, je me laissais faire tout en réfléchissant. Hors de question que je devienne un cheval de ces humains ! En réfléchissant, je regardais l'étalon. Sa robe était des plus bizarre... d'une sorte de violet... Ses crins était blanc, et il avait de très grandes balzanes. Quand je vis le désert s'étendant au loin, mon sang ne fit qu'un tour. Au fond, j'était tellement fatigué que je serais presque heureuse d'arrivé au fort. Mais le désert était trop grand et épuisant... Et que mon antérieur gauche me faisait mal... Je baissa la tête pour le regarder et vis un filet de sang. On monta sur une colline et commença la descente. Ma jambe traînait sur le sol et je trébucha. Je tomba de tout mon long et commença à glisser sur les cailloux. Puis je m'arrêta de glisser. Je le va ma tête et vis l'étalon qui, les sabots solidement campés dans les rocher, me retenait grâce à l'instrument ! Je me releva, titubante, et on se dirigea vers le bas de la colline. Arrivé là, je m'allongea, et licha ma jambe, qui saignait de plus belle. Je posa ma tête sur le sol et gémit. J'était épuisée, j'avais mal et j'avais peur. Je ferma les yeux, espérant que ce n'était qu'un cauchemar.

(Je ne veux pas te dérangé du faite que j'écris à la 1 ère personne.)

Nous prenions ensuite la route vers la maison,je respirais encore un peu fort mais mon rythme cardiaque redescendait asse rapidement,j'étais à peine en sueur.Quelques temps après nous arrivions au bord du désert plus que une ou deux collines à franchir et la sable chaud fera place à la terre.Je pouvais ressentir déjà la chaleur mais il fessait encore tôt et ici le temps n'est pas le même dans la journée c'est une vraie fournaise et le soir le pôle nord.
J'entama la descende un peu pentue quand la corde se relâcha et je découvris quelques choses me dépassait à vif allures,je du mettre tout mon poids sur les postérieur et quasiment m'asseoir pour ne pas bascule en avant et chute comme ma prise du jour.
Jacob regarda perplexe ce cheval et moi je la regarda tout étonné. Une fois en bas,nous vîmes un petit pause ainsi les hommes se reposèrent une petit demi heure comme l'ordonna mon cavalier et se désaltéré avant les plusieurs kilomètres qui nous attendais.
J'eu un seau pose devant moi et une petite tape amicale en prime,Jacob s'avança vers la jument et lui laissa le seau asse proche.Je doute qu'elle sache ce que c'était

"Buvez dans le seau avant la traverse du désert cela vous sera très utile."

[c'est juste que je n'arrive pas très bien à la troisième personne.]

Je ré-ouvris les yeux. Ce n'était malheureusement pas un rêve... L'étalon se tenait devant moi. Un drôle de truc était posé à coté de moi. L'étalon, comme lisant dans mes pensées, me dit :
"Buvez dans le seau avant la traverse du désert cela vous sera très utile."
Je me releva, regarda dans le seau et vis de l'eau. Je la buva longuement, appréciant le sentiment de renouvellement à chacune des gorgés. Ayant finis le seau, je releva la tête et dis à l'étalon :
"Merci beaucoup, j'avais si soif... Mais comment vous appelez vous ? et on va au fort ? Je vais devenir une jument de cow-boy ?"
Bien sur, j'avais peur... Mais j'étais aussi curieuse. Ces hommes, de nouvelles coutumes... Mais à choisir, je préfère la vie sauvage ! Et puis, cet étrange étalon. Et son bipède. Et mes anciens camarades... Ma curiosité est maladive ! Que choisir ?

[rp très court, désoler mais je n'ai plus d'inspiration !]