M'apprenderas-tu ce mauvais côté ? //PV - Malice.//

Visitant le camp. Les bipèdes en joie souriaient en dansant autour d'une lumière scintillante, la nuit tombée. Une douce brise de vent, vint frôler ta crinière blonde. La faisant voler comme une danse inventée. Décidément, toi petite jument tu ne pris pas part à la fête. Préférant veiller sur le camp, silencieusement. La petit plaie sur ta croupe, avait cicatrisée. Une petit douleur lorsqu'on la touchait mais, rien de plus. Trottant finalement au alentour, fatiguée, épuisée... par cette longue nuit qui commençait. Décidant, finalement que tu irais dormir. Toi Lonely sommeillant entre tout les bruits de la nuit, dormant au dessus de cette neige qui glaçait ton sang. Gêlée, te relevant sans difficulté, tu grelotais. Grelotant, par cette froideur qui t'habritait désormais par la cause de l'hiver. Après une dizaine de minute, tu avais des douleurs. Des douleurs comme si on essayait de gêlée tes pattes une à une. C'était se qui se passait mais pas une à une, plutôt les quatre en même temps. Garder tes quatre pattes sur terre devenait difficile, un vent brusque saisi tout le camp entier. Les bipèdes affolés, se réfugiant dans leurs tipis. Les équidés devaient désormais affronté tout, le feu d'hiver, allumé par les bipèdes s'était éteint par la force du vent hivernal. Des cristaux de glaces accompagnaient cette tempête de l'année. Le verglas s'acharnait vers la robe des équidés, tant sur la tête que sur le dos et la croupe. Ce fut des pincements sans arrêt par la cause du verglas, toi pauvre petite jument à la souffrance des pincements. Tu essayais tant de mal à y échapper. Mais, cette force que dame nature avait crée, t'avait rendu minable à ce point. Alors que cette nuit tempêtueuse, pris fin. Ta pauvre plaie saignait de nouveaux, mais ton bipède t'avait rassurée par la suite. Alors qu'après des années, tu décidais de nouveaux quittée par force le camp. Peur d'oublier le passé qui te restait, tu pris galop aussi vite pour oublier ce qui te stressait à ce point. Libre comme l'air, tu galopais comme jamais. Sillonnant des chemins longs et accablants. Hénnissant contre le vent qui essayait de t'effrayer par ses propres bruits. Finalement un obstacle, qu'est-ce que sais ? Te dis-tu dans tes profondres pensées qui cheminaient vers les abysses, une grosse créature qui était sur cet étendu vaste de neige. Un bison. Si gros et costaud, il ne t'avait pas remarqué. Par cette stressante présence, tu essayais tant de mal à y échapper. Mais, même en y songeant d'autres bisons apparaisaient dans ton champ de vision.

Oh non, murmuras-tu désespérément, ne connaissant aucunement cet étrange animal.