Que veut tu que l'on fasse (pv malice)

Arrive au ruisseau le cheval sentit la terre sous ses sabots depuis fort longtemp maintenant se ruisseau ne donne plus d'eau c'est simple depuis qu'il le connait il n'avait jamais vu d'eau en ce lieux désertique.
Il l'avait déjà parcouru de long en largge mais oblige de passe ici au cas ou des indiens tenterait de s'échappe de la surveilliance des hommes postes au dessus des palissades du fort,il devait tout les jours passe par cette endroit,le lege vent qui souffle entre les parois souleve des nages de poussiére a son passage,ce sable venait se déposser dans les naseaux de l'étalon et quelques grains dans ses yeux,il éternua plusieurs fois n'aime pas ce sable.
Il avait les oreilles tourne vers son cavalier à son écoute,le bipéde quand à lui avait son foulard sur son visage laissant dépassse juste ses yeux il scrupta le moindre recoin de cette contrée.Par chance il fesait encore frais ici échappant à la fournaisse du désert.
L'équidé regarda l'horizon sans espere la moindre apraision de civilisation ou de chevaux seuls des buissons roule en boule traverse le chemin devant lui mais un hennisement lui fit redresse les oreilles...

Je me promenai, vagabondait, zigzaguer entre les dunes du Cimmaron. Le soleil faisait taper ses rayons sur moi sans aucun répit. Aucun arbre ne pouvait m'apporter de l'ombre pour me reposer. Mes chaleurs étaient présentes et je n'aimais pas me faire remarquer... J'aperçus au loin un ruisseau qui serpentait a travers la vallée, bien sûr il était desséché voila des décennie. Je suivis alors ce ruisseau et arriva dans un désert de sable ou se trouvais un cheval cow-boy accompagner de son cavalier. Je hennis et approcha a quelque mètre de l'étalon, mes chaleurs se faisait sentir de plus en plus... Je regarda l'étalon sous toute ses coutures : Il était d'un beau violet, sa musculature était renforcée, pas la moindre trace de graisse, sa tête fine et ses crins étaient soyeux... Il était magnifique. Son cavalier, quand a lui, tout son corps était recouvert d'une masse de "tissus" pour ce recouvrir du sable, seul ces yeux étaient visible, et il me regardait. Je dit alors à l'attention de l'étalon :

- Bonjour bel étalon, puis-je savoir quel est votre nom ?!

Que m'arrivait-il ? Moi a mon habitude si froide et distante voila que je me transforme en dragueuse... Je m'approcha un peu de lui, faisait voler mes crins au vent, puis sans prévenir, tourna au pas autour de l'étalon, la queue en panache et mes yeux chocolat dans les siens...

Ce hennissement se fit plus féminin vers la fin,tient donc peu de temp aprés une jument débarqua de nul part et se mit à lui parle,il ne dit aucun mots,soulevant durment son sourcil gauche puis elle tourna autour de lui,il tourna sa tête pur vérifier la moindre de ses positions.
Une odeur particuliere émane d'elle,avec cette saison elle était en chaleur mais ce n'était pas pour autant que celà lui monte à la tête peut être du au désert,il dit poliment

"Je suis Fouganzy madame"il la salua de la tête

Jacob trouve cette scéne trop étrange à son gout,alors il remua sur sa selle persuade que des indiens ne devaient pas se trouve loin,il écarta son menteau légerement pour pouvoir attrape son arme plus facile,il se leva legerement sur ses pieds avant de retombe se mettant plus a l'aise.Il n'avait pas de lasso donc il ne pouvait pas l'attrape

"Puis je savoir a mon tour le nom de celle qui me tourne autour?"

Il souleva son sourcil gauche, puis observa mes gestes attentivement, il me répondit respectueusement :

"Je suis Fouganzy madame"

Il tira une révérence, son cavalier remuait sur l'harnachement de Fouganzy, se leva un court instant puis retomba lourdement sur la "selle", et me rendit enfin compte qu'il voulait m'attraper mais qu'il ne pouvait pas il n'avait pas l'air d'avoir de corde sur lui... C'est dommage pour lui.Puis le magnifique étalon me retourna la question :

"Puis je savoir a mon tour le nom de celle qui me tourne autour?"

Il s'inclina et je lui répondit prestement :

- Je me nomme Malice.

Je m'inclina a mon tour puis je m'avança vers lui et frotta mon doux poil contre le sien, de façon sensuel, certes, exagérés, je ne savais pas ce qui m'arrivais, mais j'en avais besoin et sa faisait du bien... ♥ Puis je me mit face à lui, soufflant fort dans mes naseaux puis je pris mon air dragueuse avec la queue en panache et attendit une réaction de sa part.

*Cette femelle était bien étrange d'abord elle tourne autour de Fouganzy puis se frotte contre lui d'une maniére peu commune*pensa Jacob

Toujour aux aguets,il demanda à son cheval d'avance juste pour savoir si aller être attaque.Le cheval s'arreta quelques métres plus loin,il resta distant avec la jument car d'habitude il n'y avait pas de jument seul en plein milieux de ses terres,il demanda:

"Votre cavalier ne doit pas être loin?"

Question simple mais efficase,lui aussi inspecta les parois rocheuses pour s'assurer de ne voir aucun danger il avait une vue plus perçante que son humain et pourait le sauve si il était attaque.Les chaleures de cette Malice arriverent peu à peu a vaincre la chaleur du désert ce qui permit au mâle de les sentirs.Mais étant froid naturellement,il ne montra rien de plus que monte son nez vers le ciel et sentir

Fouganzy demanda, visiblement troublé :

"Votre cavalier ne doit pas être loin?"

Eh bien, il trouver ça bizarre qu'une jument soit seule dans ce désert aride ? Je n'était pourtant pas un mirage, j'étais belle et bien là, me tenant devant lui, il leva le nez en l'air pour percevoir un danger mais il pouvais chercher, il ne trouvera personne. Je lui répondit :

"- Je n'ai pas de cavalier, je n'en aurait jamais. Je suis libre et sans loi, personne ne peut m'arrêter, même pas ton stupide cavalier.

Puis je tourna sur moi même pour l'attirer du regard, je voulais avoir l'attention de tout le monde ! Je ne sais pas ce qui me prenais, surement mes chaleurs qui me faisait avoir ces drôles de réaction. Je le regarda me demandant si il avait le regard collé sur le mien.

Pas de cavalier,pas d'autres chevaux il y avait là de quoi être dans le doute mais l'odeur de la jument était bien réel.Jacob ne voyant rien de suspect resta un peu méfiant,mais il decida de vérifier une faille dans la roche seulement son cheval ne pouvant l'atteindre il devra le faire sans son aide mais étant soldat il n'avait pas de quoi en faire un plat.Il mit pied à terre,ne prit pas la peine d'attache son cheval car il savait bien que Fouganzy ne le laisserait pas tout seul.

"Je reviens en attendant fait ce que tu veux et si je te vois pas,je sifflerais"dit il en donant une tape sur l'encolure violet

L'étalon regarda une minute son cavalier avant de se retourne vers cette drôle de jument,il s'en approcha doucement.

"Une sauvage et bien là vie que tu méne ne doit pas être super"

Lui il n'avait connue que le fort,et la vie sauvage d'aprés ce que raconte les plus vieux aux jeunes étant remplie de danger et on ne survivait pas longtemp.

Upi

Son cavalier descendit de sa monture et s'avança vers la roche un peu plus loin. Il n'attacha même pas Fouganzy. Le cavalier lui murmura des paroles inaudibles d'où j'étais mais il ne devrais pas m'apporter grand chose. L'étalon violet regarda son bipède s'éloigner de lui puis reporta son regard sur moi. Puis s'avança légèrement vers moi, avec une délicatesse extrême. Il s'exclama :

"Une sauvage et bien là vie que tu méne ne doit pas être super"

Bien sur que si la vie sauvage était parfaite a mes yeux, alors je me mis a tourner autour de lui, frolant son poils soyeux, de façon sensuel puis lui répondit sans cesser ma ronde :

"- La vie sauvage me convient parfaitement, et comme tu peux le voir, je suis en excellente santé. Comment se porte t-on chez les cow-boy ?"

Nous voila maintenant a nous échanger les ragots du coins... Que cela pouvait être ennuyeux. J'aurai préférer qu'il m'imite, fasse comme moi. Me drague, de façon qu'on s'amuse un peu... Juste lui et moi .

[Désolé du retard>.>]

La jument commençait à le troublece n'était pas la seule fille qui venait lui tourne autour cependant lui trop jeune encore ne voyer pas à quoi celà rime,mais il la laissa faire ce n'était pas désagréable non plus.

"Au fort nous avons une vie confortable,un toit pour la nuit au cas ou il pleut,des rations quotiedenne et en toute saison,si il faait trop chaud on n'a le droit a la douche bref un vrai petit paradie pour ma part mais au delà de ça allons marche un peu à l'ombre se soleil n'est pas bon pour nos corp"

Il ne dit rien de plus et partie au petit trot le long des parois ou l'ombre et la fraicheures se melerent,il laissa son encolure bien haute pour que les rênes ne retombent pas au sol,puis il s'arreta fit un demi tour sur ces hanches et attendit la jument.